Désir sexuel hypoactif (perte de désir)
Désir sexuel hypoactif (perte de désir)
Le désir sexuel est un des aspects importants de la vie psychologique. Le désir est au cœur de toute relation amoureuse. Il est l’ingrédient de base de la passion amoureuse. De se fait, ne pas désirer quelqu’un est souvent vécu comme une indice parmi d’autres d’une relation amoureuse et/ou conjugale non fonctionnelle. C’est donc un indicateur de première importance de la présence d’un dysfonctionnement conjugal et/ou individuel et de la présence d’autres problèmes sexuels dans le couple. Il fait partie d’une combinaison d’éléments essentiels qui permettent l’existence et le maintien de l’amour sans lesquels une relation amoureuse est compromise ou au moins pourra induire une détresse importante au sein du couple et/ou chez l’une ou l’autre des personnes le composant. Le désir est l’élément moteur de l’activité sexuelle.
Dans la perte de désir, la définition des problèmes est beaucoup plus complexe que celle des autres dysfonctions sexuelles. En effet bien souvent, le problème est associé à plusieurs dimensions du fonctionnement individuel ainsi que celui du couple et l’ensemble de ces aspects doivent être évalué. Il est également important de déterminer en quoi le désir sexuel se distingue des autres phases de l’activité sexuelle, en l’occurrence l’excitation et l’orgasme. La réaction sexuelle est complexe et il faut envisager que le désir et l’excitation puissent tous les deux être élevés ou bas, ou chacun séparément élevé ou bas. Ce dernier aspect de l’activité sexuelle peut paraître difficile à saisir, tout en illustrant bien l’indépendance des phénomènes de désir et d’excitation.
Cette dissociation du désir et de l’excitation peut également se produire chez l’homme bien que le problème semble être plus fréquent chez les femmes. Par exemple, un homme pourra entrer en érection et éjaculer, mais pour diverses raisons, perdra de l’intérêt pour les activités sexuelles et réduira leur fréquence jusqu’à un strict minimum.
Certains avis émettent l’hypothèse qu’il puisse s’agir du problème sexuel le plus grave et le plus complexe à traiter, et ce pour diverses raisons. D’abord, on reconnaît généralement que les problèmes de désir sexuel sont multifactoriels et impliquent souvent chez la même personne un ensemble de variables. Ensuite, on est en général d’accord pour dire que ce problème sexuel provoque des résistances en ce qui regarde le traitement. Enfin, on admet le plus souvent que ce problème affecte l’activité sexuelle à la source et qu’il entraîne par conséquent soit une diminution de la fréquence réelle des activités sexuelles, soit une diminution de la fréquence souhaitée des activités sexuelles, soit une combinaison de ces deux dimensions de fréquence, soit finalement un maintien de la fréquence avec des activités sexuelles qui on alors pour but essentiel de faire plaisir à son/sa partenaire.
Dans le cas d’une thérapie TCC pour travailler sur cette dysfonction, on agit en premier lieu sur la prise de conscience des stratégies d’évitement avec le patient(e) pour lui permettre par la suite de sortir de cet évitement. Il est également nécessaire de travailler sur la restructuration cognitive du patient(e) ainsi que sur sa perception des réactions physiologiques du désir sexuel et sur l’amélioration de son fonctionnement sexuel, sur la remise en place des fantasmes sexuels. La modification des fonctions périsexologiques inhibantes sont souvent à modifié elles aussi. Il est assez fréquent d’entendre les patientes témoigner d’une fatigue importante réduisant l’énergie nécessaire pour s’investir dans des moments d’intimité sexuelle. Il est constaté dans la plupart des cas, un surinvestissement dans les secteurs extrasexuels de se faite la sexualité est très loin derrière d’autres activités qui finalement ne sont peut-être pas aussi importantes pour la qualité de sa vie de couple (avoir une maison toujours impeccable, se concentrer sur le travail, regarder des séries télévisées, etc.). Certain patient utilise aussi l’injonction paradoxale pour suggérer que la sexualité, ce n’est finalement pas important, que l’on peut très bien vivre sans sexualité et que le plus logique est certainement de laisser son mari ou son épouse livre de se défouler sexuellement avec une autre personne qui aime ça. La personne réfutera peut-être elle-même ces arguments et choisira éventuellement de réinvestir dans la sphère sensuelle et érotique de son couple.
ll faut souligner aussi que l’absence de désir n’est pas toujours synonyme de dysfonction. Certaines circonstances de la vie comme par exemple l’âge, la maladie ou certains médicaments peuvent contribuer à réduire ou à faire disparaître le désir cher une personne.

Désir sexuel hypoactif (perte de désir)
Le désir sexuel est un des aspects importants de la vie psychologique. Le désir est au cœur de toute relation amoureuse. Il est l’ingrédient de base de la passion amoureuse. De se fait, ne pas désirer quelqu’un est souvent vécu comme une indice parmi d’autres d’une relation amoureuse et/ou conjugale non fonctionnelle. C’est donc un indicateur de première importance de la présence d’un dysfonctionnement conjugal et/ou individuel et de la présence d’autres problèmes sexuels dans le couple. Il fait partie d’une combinaison d’éléments essentiels qui permettent l’existence et le maintien de l’amour sans lesquels une relation amoureuse est compromise ou au moins pourra induire une détresse importante au sein du couple et/ou chez l’une ou l’autre des personnes le composant. Le désir est l’élément moteur de l’activité sexuelle.
Dans la perte de désir, la définition des problèmes est beaucoup plus complexe que celle des autres dysfonctions sexuelles. En effet bien souvent, le problème est associé à plusieurs dimensions du fonctionnement individuel ainsi que celui du couple et l’ensemble de ces aspects doivent être évalué. Il est également important de déterminer en quoi le désir sexuel se distingue des autres phases de l’activité sexuelle, en l’occurrence l’excitation et l’orgasme. La réaction sexuelle est complexe et il faut envisager que le désir et l’excitation puissent tous les deux être élevés ou bas, ou chacun séparément élevé ou bas. Ce dernier aspect de l’activité sexuelle peut paraître difficile à saisir, tout en illustrant bien l’indépendance des phénomènes de désir et d’excitation.
Cette dissociation du désir et de l’excitation peut également se produire chez l’homme bien que le problème semble être plus fréquent chez les femmes. Par exemple, un homme pourra entrer en érection et éjaculer, mais pour diverses raisons, perdra de l’intérêt pour les activités sexuelles et réduira leur fréquence jusqu’à un strict minimum.
Certains avis émettent l’hypothèse qu’il puisse s’agir du problème sexuel le plus grave et le plus complexe à traiter, et ce pour diverses raisons. D’abord, on reconnaît généralement que les problèmes de désir sexuel sont multifactoriels et impliquent souvent chez la même personne un ensemble de variables. Ensuite, on est en général d’accord pour dire que ce problème sexuel provoque des résistances en ce qui regarde le traitement. Enfin, on admet le plus souvent que ce problème affecte l’activité sexuelle à la source et qu’il entraîne par conséquent soit une diminution de la fréquence réelle des activités sexuelles, soit une diminution de la fréquence souhaitée des activités sexuelles, soit une combinaison de ces deux dimensions de fréquence, soit finalement un maintien de la fréquence avec des activités sexuelles qui on alors pour but essentiel de faire plaisir à son/sa partenaire.
Dans le cas d’une thérapie TCC pour travailler sur cette dysfonction, on agit en premier lieu sur la prise de conscience des stratégies d’évitement avec le patient(e) pour lui permettre par la suite de sortir de cet évitement. Il est également nécessaire de travailler sur la restructuration cognitive du patient(e) ainsi que sur sa perception des réactions physiologiques du désir sexuel et sur l’amélioration de son fonctionnement sexuel, sur la remise en place des fantasmes sexuels. La modification des fonctions périsexologiques inhibantes sont souvent à modifié elles aussi. Il est assez fréquent d’entendre les patientes témoigner d’une fatigue importante réduisant l’énergie nécessaire pour s’investir dans des moments d’intimité sexuelle. Il est constaté dans la plupart des cas, un surinvestissement dans les secteurs extrasexuels de se faite la sexualité est très loin derrière d’autres activités qui finalement ne sont peut-être pas aussi importantes pour la qualité de sa vie de couple (avoir une maison toujours impeccable, se concentrer sur le travail, regarder des séries télévisées, etc.). Certain patient utilise aussi l’injonction paradoxale pour suggérer que la sexualité, ce n’est finalement pas important, que l’on peut très bien vivre sans sexualité et que le plus logique est certainement de laisser son mari ou son épouse livre de se défouler sexuellement avec une autre personne qui aime ça. La personne réfutera peut-être elle-même ces arguments et choisira éventuellement de réinvestir dans la sphère sensuelle et érotique de son couple.
ll faut souligner aussi que l’absence de désir n’est pas toujours synonyme de dysfonction. Certaines circonstances de la vie comme par exemple l’âge, la maladie ou certains médicaments peuvent contribuer à réduire ou à faire disparaître le désir cher une personne.